Archives : Phalaenopsis


Aujourd'hui :

 

         Pour ceux qui s'intéressent aux hybrides de Phalaenopsis, vous savez certainement que cet hybride est un hybride primaire entre les espèces P. schilleriana et P. stuartiana. L'année dernière, je n'avais eu droit qu'à 3 fleurs, il y en a 8 cette année, vivement l'année prochaine ! Voici les photos :

 

Floraison Phalaenopsis Philadelphia 01/2012 (cliquez pour agrandir)

 

Floraison Phalaenopsis Philadelphia fleur 01/2012 (cliquez pour agrandir)

 

Article de février 2011 :

 

         Pour ceux qui s'intéressent aux hybrides de Phalaenopsis, vous savez certainement que cet hybride est un hybride primaire entre les espèces P. schilleriana (qui a fleurit dans mes collections il y a quelques temps) et P. stuartiana (qui lui ne devrait pas tarder à fleurir). C'est un bel hybride aux feuilles très décoratives, qui refleurit facilement et dont les fleurs durent longtemps. Le voici en photo :

 

 

 

Lien vers la fiche botanique de l'hybride ici.

Bonne culture et à bientôt 😉

 

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         Comme précisé dans l'article présentant ma nouvelle structure, tout n'était pas encore au point. C'est chose faite maintenant et le système d'humidification est en place. Vu la taille de la structure, je me suis retrouvé rapidement confronté à un problème : Il n'existe pas pour ma structure de brumisateur (ultrasonique) assez puissant dans le commerce, loin de là (pas assez de têtes, pas assez de réserve et ventilateur trop petit). De plus je ne voulais pas humidifier avec un système sous pression, à cause du bruit, des risques de fuite et des éclaboussures. Du coup une seule solution, le faire soi-même. Voilà quelques caractéristiques du système :

 

– 9 têtes de brumisation.

– Environ 40 litres de réserve (j'ai utilisé une sorte de poubelle plastique que j'ai étanchéifié).

– Un gros ventilateur (300m3 / heure) pour mettre tout ça sous pression et permettre l'utilisation d'un long tuyau (plus de 6 mètres) pour répartir la brume partout.

– Un water timer GSE utilisé pour faire tourner le brumisateur à une certaine fréquence le jour et une autre fréquence la nuit.

 

         Le système est plutôt efficace, et permet de brumiser à 13 endroits différents sur la structure. Tout le cadre n'est pas humidifié de la même façon, de manière à varier les conditions de culture sur la structure. Ainsi, chaque Tillandsia et chaque Phalaenopsis y trouve son compte :

 

 

En attendant la suite, je vous souhaite bonne culture 😉

à bientôt

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          Suite à de nombreuses questions concernant l'apparition et le développement des racines sur les keikis (rejets naissant sur une hampe), j'ai décidé de vous concocter un article "pas à pas" pour vous montrer une technique très simple permettant de favoriser l'apparition et le développement de racines sur vos petits bébés (pour ceux qui ne connaissent pas bien les keikis, je vous invite à lire cette page). Cela est très utile pour accélérer le processus et gagner du temps mais surtout si vous devez envisager une séparation prématurée : par exemple, si la partie de la hampe située entre le(s) keiki(s) et la plante mère commence à jaunir et qu'il reste donc peu de temps au petit pour former des racines avant la séparation, surtout s'il en a aucune (pas de panique par contre tant que ce n'est que l'extrémité de la hampe qui jaunit car bien souvent, le jaunissement s'arrête au niveau du keiki, au moins pendant quelques mois. Le keiki reste ainsi connecté à la plante mère pendant ce temps et peut donc encore produire des racines rapidement, surtout si vous appliquez la méthode de cet article).

Note : les informations de cet article peuvent aussi être utilisées pour un rejet situé à la base de la plante mère (on ne parle pas de keiki dans ce cas). Si le rejet est proche de le surface du pot, il n'y aura pas besoin de ligaturer la sphaigne mais juste d'en coincer un peu entre la base du rejet et le substrat.

 

          Deux méthodes ont déjà fait leurs preuves pour favoriser le développement des racines :

Les hormones : elles "forcent" la plante à produire des racines.

Une augmentation d'humidité : qui va permettre d'augmenter les chances d'apparition de racines et surtout favoriser leur développement une fois émises.

Note : n'étant pas fan des produits chimiques, je me suis concentré sur la deuxième méthode, que j'ai adapté pour l'occasion en m'inspirant d'une technique horticole qui est le marcottage aérien (très facile à réaliser). Il est cependant possible de combiner les 2 méthodes (faire le montage en appliquant un peu d'hormone avant de recouvrir de sphaigne).

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